Le vignoble de Bergheim à St-Hippolyte

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et les photos de Pierre en cliquant ici

C'est par cette douce journée printanière que nous avons randonné aujourd'hui dans le vignoble,  de Bergheim à St-Hippolyte.

Première sortie pédestre avec restaurant de la saison 2010.

Nous étions nombreux, un  peu plus de cinquante.

Après avoir stationné nos voitures sur le parking à l'entrée de Bergheim nous nous sommes rapidement engagés dans le vignoble. Nous avons bénéficié à deux reprises du savoir de notre ami Charles, ancien directeur de l'INRA, petites conférences très passionnantes ...

 dont l'une devant le Château du Reichenberg (cliquez ici).
Le Château du Reichenberg (750 ans - Commune de Bergheim) est inscrit à l'inventaire supplémentaire des sites.
Et pour la petite histoire :
En octobre-Novembre 1988, la romancière Frédérique Hébrard est venue au Château du Reichenberg avec son mari Louis Velle, tourner le film "Le mari de l'Ambassadeur" avec Diane Bellego dans le rôle principal.

Nous avons traversé Rodern, petit village d'un peu plus de 300 habitants, situé au coeur du vignoble alsacien, au pied du Haut-Koenigsbourg, réputé pour son Grand Cru "Gloeckelberg" et son "Pinot Noir".

Une petite descente et c'est le clocher de l'Eglise Saint-Hippolyte qui se dessine au loin.

Gina,  guide de la journée, a réservé la grande salle-brasserie de l'Hôtel-Restaurant "LE PARC " à Saint-Hippolyte. (clic pour visiter leur site)  Et c'est dans un magnifique et élégant décor que nous avons dégusté le menu "gastronomique" "SURPRISE" à la façon  "SEPPI".


Presse de Saumon et de Sandre aux herbes
Crème de Raifort, petite salade

Filet Mignon de porc en croûte
Fricassé de champignons
Fricot de légumes

Gâteau Forêt Noire



Après cette "délicieuse halte"  particulièrement appréciée et comme de coutume dans une ambiance amicale, nous avons repris la route ... St-Hippolyte, Rorschwihr et retour au parking à Bergheim par les remparts.

Vestiges de l'enceinte fortifiée (vers 1316) Des fenêtres remplacent les créneaux.



Journée mémorable, tout était plus que parfait ... merci Gina ....

Du Mandelberg à Mittelwihr vers Riquewihr via Zellenberg




Au cœur du sentier viticole qui relie "les perles du vignoble " alsacien, le Mandelberg protège la vigne et la commune de Mittelwihr des rigueurs des vents du nord. La douceur méridionale dans la cité blottie aux pieds du vignoble, le caractère affable de ses vignerons et la générosité des vins issus du terroir, permet de situer "le midi de l'Alsace" au pied de "la colline des amandiers".




Photos prise en 2009 (clic)
Ce matin au programme "randonnées" : la marche "facile du mois". Donc pas de dénivelé, une endurance s'étalant au maximum sur une dizaine de kilomètres en 2/3 heures, et ... nous devions admirer les amandiers en fleurs sur le Mandelberg à Mittelwihr.
Un grand et magnifique soleil présent mais point de fleurs sur les amandiers. Trop tôt ? non Gina, notre guide,  ne peut s'être trompée dans ses prévisions ! tout simplement il a fait froid trop longtemps. Les bourgeons naissants laissent présager les petites fleurettes roses. Mais patience !!!


Magnifique et éphémère spectacle des amandiers qui fleurissent chaque année et annoncent le printemps et le bourgeonnement précoce de la vigne sur le Mandelberg.


""Un jour, Charlemagne, en route vers l'Italie, fit une halte sur les hauteurs de Mittelwihr, sans doute pour se désaltérer à la source des bons crus.
Lorsque sa caravane repartit, d'étranges coquilles jonchaient le sol. Les gens les enfouirent sous terre, pour éviter tout mauvais présage, et quelques temps après on vit fleurir des amandiers. Ainsi naquît, dans la légende, le "Mandelberg", la "colline des amandiers" où la vigne, dit-on s'épanouissait déjà à l'époque romaine.""



Nous avons marché trois bonnes heures à travers le vignoble, côtoyant Zellenbger et Riquewihr, quelques petites haltes, et c'est à midi 1/2 que nous sommes arrivés à "La Table de Riquewihr"(clic).

Cadre chaleureux, élégant et agréable où nous avons partagé un délicieux repas "gastronomique".

Nous devons ces moments de bonheur à Gina que nous remercions de tout coeur et ... à la prochaine marche facile .... le mois prochain !

De Kientzheim vers le chêne de la chapelle


Me voilà de retour sur les sentiers vosgiens ; ce n'est pas que j'ai "boudé" mes amis, mais j'ai cocooné, un peu trop peut-être. 
Quelques marcheurs du groupe du mercredi sont restés très stoïques. Ils ont randonné durant tout l'hiver et par tous les temps...
Mais aujourd'hui voici les premiers rayons de soleil annonciateurs de printemps ...  Nous étions une trentaine sur le parking des remparts à Kientzheim et c'est de là que nous nous sommes partis, grosses godasses aux pieds et bâtons aux poignets !

Dans les vignes de Kientzheim un original mémorial en grès des Vosges perpétue le souvenir de Joseph Schwartz, oenologue de métier, historien par passion qui fut Maire de Kientzheim et qui s'est battu pour la reconnaissance des grands crus sur lesquels la famille Blanck vendange tous les cépages nobles.


Nous avons suivi la  croix bleue - direction Riquewihr . Après environ 1 k 500 sur le macadam nous avons rejoint le chemin balisé triangle bleue. Une montée raide nous a amenés au Chêne de la chapelle  (Notre-Dame du Chêne - alt. 602 m) ; l'endroit  aménagé avec quelques bancs a été bien accueilli, le temps d'une petite pause....


C'est en redescendant vers Kientzheiml (croix bleue) que nous avons passé à côté du Rocher du Corbeau  - amas de roches qui surplombe le chemin qui va au Saint-Alexis. Le Rocher du Corbeau est remarquable par sa taille.

La marche : 12 kilomètres, 400 mètres de dénivelé ... pas mal pour ma "première" de la saison ...
Quelques photos  (clic ici)

Randonnée réussie - bonne humeur, ambiance conviviale et un petit pot d'amitié après la marche.
C'est Eugène qui a organisé la sortie et nous l'en remercions.

"Peugeot" à Sochaux




Départ ce matin dans l'incertitude. Au réveil 20 cm de neige sur Colmar. Les routes ne sont pas encore dégagées. Les sorties de garage, de chemins, de routes secondaires sont aléatoires et … pourtant … nous étions tous là, à l'heure au rendez--vous.

A Sochaux nos deux guides nous attendaient bel et bien, souriants et disponibles, et nous ont fait visiter, partagés en deux groupes, ce magnifique "Musée de l'Aventure PEUGEOT".(clic)
Situé à Sochaux aux portes du site de production de la 308, ce Musée est un véritable "conservatoire de la Marque".

Sur 10 000 m2, il propose une promenade à travers le temps et présente l'intégralité de la production PEUGEOT de 1810 à nos jours…...


Un tableau dans la galerie d'accueil nous renseigne :
"L'aventure Peugeot" :
Association déclarée régie par la loi du ler juillet 1901
Regroupant les collections d'outillages, de cycles, de motocycles et d'automobiles, portant le nom "PEUGEOT", ce musée se veut une vitrine de deux siècles d'industrie, pétrie de savoir-faire et d'innovations technologiques.
Evocation du futur, reflet du passé, il est le symbole d'entreprises qui évoluèrent sans cesse et qui continuent à le faire avec la volonté d'être dans le peloton de tête, celui des gagnants ..."
Signé le Président Pierre Peugeot - 2 juillet 1988

et … un peu d'histoire :
1810
Jean-Pierre et Jean Frédéric PEUGEOT s'associent avec Jacques MAILLARD SALINS pour créer la première Société industrielle PEUGEOT sous le nom de PEUGEOT FRERES AINES et Jacques MAILLARD-SALINS.
En 1813, cette société obient l'autorisation de transformer un moulin du meunier installé au lieudit SOUS-CRATET près d'Hérimoncourt en une fonderie d'acier, qui produira :
- de l'acier
- de l'acier laminé pour les lames de scies et ressorts
- et de l'acier cylindrique poli.
En juillet 1818, elle dépose une demande de brevet pour l'invention d'une machine permettant tout à la fois "le laminage à froid et à chaud, le recuit, le redressage et l'aplatissage des lames de scies."
L'AVENTURE INDUSTRIELLE COMMENCE …

Notre guide était parfaite. Je n'ai pas retenu toutes ses explications ; il me reste cependant en mémoire l'histoire de la numérotation "Peugeot" :

"" Les premiers modèles Peugeot se suivaient dans une numérotation plus ou moins logique qui n'était d'ailleurs que peu utilisée par la publicité. P.ex. la 190 S était vantée dans les brochures sous le nom de "la 5 CV Peugeot". Avec la 201 une ère nouvelle commence, le prin chipe de gamme s'affirme. Le premier chiffre indique la série, le dernier la chronologie à l'intérieur de celle-ci, le tout articulé autour du zéro central. Pour Peugeot les numéros sont sacrés !!
Trois chiffres depuis la 201 …
201, 203, 205, 306, 407, 504, 607, etc : des numéros pris au hasard de l'histoire de Peugeot, des numéros qui se ressemblent, mais qui ne disent jamais la même chose. Chacun d'eux, en effet, identifie clairement un modèle de la Marquer et ceci, depuis la 201 présentée au Salon de Paris en 1929.
Un signe de reconnaissance :
L'identité à 3 chiffres est une composante essentielle de la notoriété Peugeot. Ce système de numérotation fonctionne comme un signe de reconnaissance et permet un repérage facile dans la gamme : un zéro central et un chiffre de part et d'autre. Il n'a jamais changé depuis le lancement de la 201, et donne 3 informations sur le modèle concerné :
- le premier chiffre indique la famille du véhicule, sa taille dans la gamme.
- le second chiffre - systématiquement un 0 - est le maillon qui relie le chiffre d'appartenance à une famille à celui de la génération.
- le troisième chiffre indique la génération du modèle.""

Toutes les photos (ici - clic)

Après un excellent repas servi dans les salons du Musée, nous avons repris le bus qui nous a amenés au site de production de voitures Peugeot. Nous avons visité avec un jeune guide les ateliers de montage - d'emboutissage - de serrage et de peinture.

Epoustouflant ....
Trop technique j'aurais du mal à utiliser les termes corrects ; je vous propose donc d'aller directement visiter le site Peugeot en cliquant (ici)
Un petit film "La fabrication d'une automobile" a étayé tout ce gigantisme auquel nous étions confrontés lors de la visite du site, un tour au magasin "souvenirs" et puis ...

.... nous sommes "tranquillement" retournés à Colmar, les routes étaient dégagées
Merci à Charles, responsable de la sortie !!!

Réunion Annuelle de la Délégation ARCAL-COLMAR - 2009/2010




C'est une tradition ! La réunion annuelle de la délégation ARCAL de COLMAR se tient à la "Ferme des Moines" à Thierenbach.

C'est à 9 h 45 que nous avons été accueillis - le Café et des Viennoiseries nous attendaient.

La réunion a débuté après 10 heures. Le programme de travail a été scrupuleusement respecté et je vous laisse le loisir d'en lire une petite synthèse en cliquant ici.

les photos de la réunion de travail (ici)

Après la séance de travail nous sommes passés à table et voici le repas qui nous a été servi :

Quiche Lorraine - Salade verte
Paleron braisé à la bière
Légumes - Gratin Dauphinois
Croquant au chocolat avec son sorbet framboise
le tout arrosé au choix de Pinot Blanc 2006 - Roth Soultz
Chartreuse de Mougères "Le Pélerin"
Vin de pays de Caux 2006
Café
les photos prises au restaurant de la Fermes aux Moines (clic)

C'est Bernard Guntz "Le Troubadour de la Joie" qui a clôturé le programme festif en nous présentant un spectacle ; il a chanté l'Alsace .... et nous a réjoui le coeur (quelques photos ici)



Journée bien remplie ... à l'année prochaine, tous réunis dans le même élan
et ... un grand merci aux organisateurs !