Visite du Musée des Augustins et du Marché de Noël de Fribourg en Brisgau


C'est sous quelques timides flocons de neige que nous avons pris la route ce matin vers Fribourg en Brisgau, et nous y avons visité le Musée des Augustin situé dans l'église de l'ancien couvent des Augustins.
Exposition "Fribourg Baroque" rendant hommage au peintre Johann Christian Wentzinger né le 10 décembre il y a 300 ans qui a étudié à Rome et à Paris, et qui a ensuite choisi de vivre dans le Rhin supérieur.

Le "nouveau" Musée des Augustins présente sa collection d'art renommée du Moyen Age à la peinture baroque du 19e siècle.
L'architecte Christoph Mäckler (architecte et auteur allemand, Francfort-sur-le-Main) a transformé l'ancienne église du monastère en un  musée exceptionnel et moderne qui permet une incomparable et riche approche des oeuvres exposées.
L'accent est mis sur les figures de pierre et vitraux d'origine de la Cathédrale de Fribourg, sculptures médiévales en bois, peintures de chevalet, entre autres de Matthias Grünewald, Lucas Cranach et Hans Baldung Grien.
Parmi ses trésors, on compte un volet du retable de Grünewald représentant le miracle de sainte Marie-des-Neiges (1519) ainsi qu’un impressionnant crucifix du 14e s. (Adelhauser Kreuz).
Hans Baldung Grien (Vierge à l'enfant endormi) 1520

Dans la salle de l'ancien choeur les oeuvres du baroque font leur plus bel effet. Le grenier abrite des peintures du 19e siècle.
Au sous-sol, dans une lumière glauque d’aquarium, émerge un saisissant ensemble de sculptures de grès : chimères, gargouilles et péchés capitaux qui proviennent de la cathédrale.
Les intempéries ont causé des dommages considérales aux sculptures de grès extérieures de la cathédrale. C'est pourquoi une grande partie d'entre elles ont été mises en sécurité et remplacées par des copies. Depuis 1968, l'Augustinermuseum accueille principalement des sculptures provenant de la flèche : les comtes de Fribourg (vers 1270), le couronnement de la vierge (vers 1280), les gargouilles (vers 1300/100) et cinq des prophètes (vers 1320/30).
Cinq autres prophètes qui avaient été mis en milieu sûr plus tard et étaient beaucoup plus endommagées ont été confiés au musée en 2007, quatre d'entre eux avec leurs socles d'origine. C'est ainsi qu'il est possible de présenter au Musée la série complète des statues.
Voir l'album-photos de la visite en cliquant ici
Et ce n'est que le début. Dans les prochaines années de nouveaux espaces d'expositions vont être créés (collections graphiques, culturelles et historiques ...)  à suivre ...

L'après-midi, en quartier libre, nous avons fait le tour du marché de Noël de la ville : 152 stands disposés en plein coeur du centre historique spécialement illuminé, le marché de Noël de Fribourg est l'un des plus typiques et des plus populaires d'Allemagne.


Les photos du marché de Noël sont ici

Fribourg était enneigée ce qui n'a fait qu'accentuer l'ambiance Noël régnant dans toute la ville. Un petit chocolat chaud pris à l'angle de la rue principale avant de reprendre le bus, et nous voilà sur la route du retour.

C'est à Monique que nous devons cette journée culturelle et enrichissante. Nous nous sommes promis de revenir au Musée "Augustina" dont la nouvelle architecture nous a laissés pantois.


"Le Zibelemärit" - Marché aux Oignons à Berne



Nous sommes partis très tôt ce matin de Colmar, direction Berne en Suisse Alémanique.

Comme chaque année,  le quatrième lundi de novembre, la traditionnelle foire aux oignons – «Zibelemärit» - draine des dizaines de milliers de visiteurs dans la capitale helvétique. Les premiers marchands dressent leurs tréteaux très tôt, dès 3h00 du lundi matin,  aux alentours de la Place fédérale de la capitale suisse.

 Une vingtaine de trains spéciaux sont prévus pour acheminer les milliers de visiteurs ...

"" Le marché aux oignons est une survivance d'un marché automnal de la Saint-Martin qui durait quinze jours, et qui est attesté dès le 15e siècle. Selon une légende, son origine remonterait à l'incendie de la ville de Berne en 1405.

Les paysans des environs auraient activement aidé aux travaux de remise en état et ainsi reçu le droit de vendre leurs produits en ville.

Le premier véritable marché automnal n'est cependant apparu qu'en 1439. Auparavant, les légumes étaient néanmoins déjà mis en vente sur les marchés hebdomadaires.

En fait, les documents historiques mentionnent la vente d'oignons seulement à partir du milieu du 19e siècle, époque à laquelle des lignes ferroviaires ont été construites entre les régions agricoles et la capitale. ""

En partant de la place de la gare, nous avons sillonné toutes les rues de Berne. Près de 650 stands ont été dressés au centre de la ville pour cet événement qui est l'une des manifestations traditionnelles les plus attendues de l'année à Berne. Plus d'un tiers des marchands présents vend des oignons. Nous avons également pu trouver des objets d'artisanat, d'autres légumes, ainsi que divers produits de consommation.

 L'après midi, après nous être restaurés dans un petit restaurant on ne peut plus sympa, nous avons visité la cathédrale gothique de Saint-Vincent (1421 à 1573) qui surplombe toute la ville. Nous sommes remontés la rue principale Marktgasse, reconnue pour ses boutiques de luxe et sa magnifique tour de l'horloge. Puis nous avons emprunté la rue Kramgasse, la plus ancienne de Berne qui attire notre attention avec ses nombreuses et très jolies fontaines. La plupart datent du XVIe siècle.
L'album-photos-diapo  en cliquant ici

Dans la continuité de cette rue, au-delà du pont de Nydegg nous avons découvert la fameuse fosse aux ours où ces derniers y vivent depuis 1513. (L'ours est le motif des armoiries de Berne). C'est un véritable " parc aux ours " de plus de 10'000 m2, qui permet aux animaux d'y séjourner toute l'année, également en hiver dans des grottes prévues à cet effet. Ils peuvent se baigner et même pêcher directement dans l'eau de l'Aare toute proche. 





Sur les places et dans les rues de Berne les jeunes font des batailles de confettis qui jonchent le sol en formant d'épais tapis multicolores. Quelques poignées égarées finissent sur nos bonnets et entrent dans l'ouverture des cols.

Enfin l'heure du R.V. pour le retour à Colmar approche et nous rejoignons la place de la gare où nous attend notre bus.

C'est à Pierre que nous devons cette journée récréative, surprenante, amusante, culturelle, et j'en passe !
Bravo Pierre !!
et puis ....
Berne est tellement une belle capitale qu'elle mérite par ailleurs  le détour! 

Nota : pour les curieux qui sont arrivés au bout de cet article voici la légende de l'ours de Berne :
"" Les ours sont étroitement liés à l'histoire de la ville de Berne. En 1191, le duc Berthold V de Zähringen décide d'établir dans la région une cité pour abriter les paysans alentours. Il demande à ses chasseurs de lui conseiller un endroit stratégique. Ces derniers l'orientent sur les rives de l'Aare, là où la rivière forme une boucle. Le gibier semble abondant et l'implantation se révèle idéale pour surveiller les environs.
Le duc organise alors une partie de chasse à l'issue de laquelle le nom du premier animal capturé sera donné à la nouvelle ville. Le destin choisira un ours, " ein Bär ", la ville s'appellera donc " Bärn ", puis " Bern(e) " et l'ours en deviendra son emblème en apparaissant pour la première fois en 1224 sur l'écusson de la ville. ""

Dégustation au Domaine Viticol WUNSCH et MANN à WETTOLSHEIM - producteur de vins blancs en Alsace



"Bonjour à tous, avant tout je voudrais remercier la famille Mann qui a bien voulu nous accueillir dans son domaine"
Ainsi s'exprime notre ami Jean-Paul qui a organisé et ce pour notre plus grand plaisir,  une après midi oenologique,  dont les photos sont ici (petit clic avec votre souris)

Et en préambule, il nous raconte l'histoire des Wunsch et Mann :

"" Il y a de nombreuses années, vivait à Wettolsheim un monsieur qui s'appelait Joseph Wunsch. Il était secrétaire de Mairie de profession et possédait comme presque tous les villageois une ou deux pièces de vigne pour la consommation familiale du vin.
Comme il était un des seuls au village à bien parler le français, les vignerons lui demandèrent de se rendre en Ardèche pour acheter des plants de vigne. Dès lors, il devint le distributeur des plants des vignes des viticulteurs de la commune et des alentours. Il e,n profita également pour acheter et planter de nouvelles vignes, et de faire la mise en bouteilles. Mais, il lui fallait trouver une solution à cette activité annexe qui l'occupa de plus en plus. Comme il avait de belles filles à marier, Marie-Rose l'aînée, et Alice la cadette, il pense qu'il était opportun de trouver un mari pour l'aînée. Et ... Marie-Rose trouva l'homme rêvé (Wunsch Mann) qui s'appelait Joseph Mann.

En 1948 eut lieu le mariage et fut créée l'entreprise Wunsch-Mann (le souhait et l'homme). Mais Joseph Mann ne s'appliqua pas seulement à faire grandir le domaine, mais également à agrandir la famille. En l'espace de quelques années, la famille s'agrandit ainsi de 7 enfants : Jean-Louis l'aîné, Annette, Michelle, Jacques, Brigitte, Marc et Pierre.

Malheureusement, Joseph Mann décéda trop tôt (en 1984), et c'est Marie-Rose son épouse qui reprit les rênes de l'entreprise pendant 20 ans jusqu'en 2004, secondée au fur et à mesure après leurs études de Jean-Louius, Michèle, Jacques puis Marc.

Des 4 enfants qui sont restés dans l'affaire, Jean-Louis et Jacques reprirent la direction, Michèle la responsabilité de l'accueil et de l'administratif et Marc devint chef de culture.

Depuis 2008, c'est Jean-François, le fils de Jean-Louis qui est devenu l'oenologue de l'entreprise, et Maxime le fils de Jacques seconde Marc dans les vignes ""
Merci à Jean-Paul pour ce bel exposé !
Voici l'adresse du site du Domaine WUNSCH-MANN en cliquant ici

Et c'est Jacques Mann qui prend la parole ; il nous parle avec passion de la nouvelle étape très importante dans la culture de la vigne  : le domaine passe à la culture biologique ! et c'est en 2011,  au bout de trois années d'efforts intensifs,  qu'ils obtiendront le label "BIO" - "Le sol ne doit plus contenir aucune molécule chimique" nous dit-il !

Après la visite de la cave et la dégustation  du millésime 2010 (vin jeune de très petite quantité mais avec un potentiel non négligeable de "garde"),   il nous emmène dans la salle de dégustation où nous sommes confrontés à goûter des vins plus précieux les uns que les autres, accompagnés de toasts, et de kougelopfs le tout flattant nos palais rompus mais non insensibles à ces grands et prestigieux vins !

En premier il nous sert un Pinot Blanc (qui représente 20 % de leur production) suivi d'un Riesling 2008, Cuvée Roi Clovis, (dont l'étiquette représente un tableau dans l'église de Wettolsheim). Puis nous passons à la dégustation d'un Riesling 2007, Grand cru Steingrubler. 
Notre ami Charles Putz intervient et nous parle avec éloquence de Wettolsheim; il nous conseille vivement de visiter le site en cliquant ici.

Nous goûtons ensuite :
-  Un Pinoy Gris 2008 -  Cuvée St Rémy
-  Un Pinot Gris 2007 Steiungrubler
-  Un géwurtztraminer 2006 Steingrubler
-  Un crémant Brut HENQST 1986 (grand potentiel de garde).

L'ambiance se "réchauffe"! mais la dégustation  touche à sa fin ... 
En conclusion  Jacques Mann reprend la parole et nous raconte une petite mésaventure sur la route entraînant une arrestation pour conduite "en état d'ivresse".

" Après une nouba bien arrosée, lui-même ainsi que "deux arcaliens"  ...  se sont retrouvés en cellule de dégrisement.
Les Alcotests ont révélé chez Charles 1, 8 gr d'alcool, et chez Jean-Paul 2,5 ; tous les deux ont été relâchés : curieux non ?
Les gardiens de l'ordre ont cependant gardé Jacques Mann . Son test affichait 3 gr d'alcool.   Après avoir fermé portes et fenêtres du commissariat, ils l'ont entouré et serré dans leurs bras et EN CHOEUR ILS ONT JOYEUSEMENT ENTONNé  "Il est des nôtres !!! ...) ""
 Je suppose que ça doit être une blague ....  !!!

Merci Jean-Paul pour cette amicale et instructive après-midi oenologique.

Atelier "Mémoire" la Doyenne est fêtée



Nous avons fêté ce jour les 92 ans de notre doyenne Madame Bloch Simone qui est toujours très active dans les ateliers "mémoire".
(c'est la dame en rouge)
Amicalement :  Annie

Le groupe "Mémoire"

Le "traditionnel" pot-au-feu à Landersen - version 2010




   Ecoutez : "Je me suis fait une place en Alsace...."
C'est en deux groupes que les Arcaliens de Colmar se rendent "traditionnellement" à Landersen afin de partager le fameux pot-au-feu  d'Anne-Marie Bessey, ferme-auberge du Landersen(clic). Une partie des inconditionnels du pot-au-feu se sont retrouvés ce mardi et c'est ce midi que l'autre partie s'est réunie, après une balade au-dessus de Landersen.

Discussions, échanges, amitié, bonne humeur, ambiance tout aussi "traditionnelle" que le renommé pot-au-feu d'Anne-Marie Bessey

La préparation des roïgabrageldi en accompagnement de la viande du pot-au-feu est tout un art. Anne-Marie Bessey nous en livre le secret :

"" Les roïgabrageldi font partie du repas marcaire servi dans les ferme-auberge des Vosges. Celui-ci est composé de tourte de la vallée de Munster en premier plat et des roïgabrageldi avec la palette fumée en second plat. Ils sont bien entendu suivis de fromage de Munster...
Les roïgabrageldi :

- Ingrédients :
    *         2kg de pommes de terre
    *         6 tranches de palette fumée
    *         150 g de lard gras fumé
    *         2 gros oignons
    *         100 g de beurre
    *         sel
- Préparation  : 
Peler les pommes de terres et les couper en lamelles. Emincer les oignons 
Détailler le lard fumé en lardons et mettre les lardons dans une cocotte en fonte et les faire rissoler quelques instants.    
Recouvrir les lardons avec une couche de pommes de terre puis alterner avec une couche d'oignons puis une couche de pommes de terre jusqu'à épuisement des ingrédients.     
Saler légèrement, couvrir et laisser cuire à feux vif pendant une dizaine de minutes.
Préchauffer le four à 230°. Enfourner la cocotte et laisser cuire encore 1 heure.   
Au moment de servir, hacher grossièrement les pommes de terre.  

Recette d'Anne-Marie Bessey, ferme-auberge du Landersen. ""
 

et voici la recette du "Pot-au-feu" d'un ami Arcalien sur son site web que vous pourrez consulter en cliquant ici
ainsi que quelques photos prises par Annie et Jean en cliquant ici

Et ....  à l'an prochain à LANDERSEN .....

ESCAPADE A MADRID


Une trentaine d’Arcaliens ont participé à l’escapade de 4 jours à Madrid, ville très intéressante au charme irrésistible. C’est une des métropoles les plus jeunes d’Europe ou se mêlent avec le plus de naturel la permanence des traditions et la fièvre de la modernité.

Notre périple a débuté par la visite de l’Université de Alcala de Henares (les photos ici)
- ALCALÁ DE HENARES: ville déclarée Patrimoine de l'Humanité par l'UNESCO, où est né Cervantes, l'écrivain le plus important de la littérature espagnole, auteur notamment de “Don Quichotte


Alcalá de Henares fut la première ville conçue et construite uniquement en tant que siège d’une université, et devait servir de modèle à d’autres centres d’érudition en Europe et aux Amériques.
La contribution d’Alcalá de Henares au développement intellectuel de l’humanité s’exprime entre autres par les avancées linguistiques qui y virent le jour, notamment en ce qui concerne la définition de la langue espagnole.

- Visite du PALAIS ROYAL 

Magnifique construction du XVII ème siècle
Autrefois résidence des rois d’Espagne est utilisé aujourd’hui pour les cérémonies officielles.

- Découverte à pied de la vieille ville : le Madrid des Habsbourg

En particulier la Plaza Mayor
La Plaza Mayor fut un des centres les plus actifs de Madrid du XVIIe siècle. Des spectacles de tous genres s'y tenaient : des corridas, des jugements de l'Inquisition (avec ses bûchers) ou différents actes publics auxquels assistait la foule depuis les balcons qui la surplombent. Site incontournable pour les touristes, c'est le monument le plus emblématique de Madrid.
La statue au centre de cette place représente Felipe IIl

- Visite du musée du Prado
Le musée du PRADO est l’une des plus grandes pinacothèques du monde. Il présente principalement des peintures européennes (flamandes, espagnoles, françaises, italiennes et allemandes) du XIVe siècle au début du XIXe siècle, collectionnées par les Habsbourgs et les Bourbons.


Principales œuvres exposées au musée du Prado  cliquez ici
  • Le Jardin des délices (Jérôme Bosch)
  • Le Triomphe de la Mort (Pieter Bruegel l’Ancien)
  • Les Ménines (Diego Vélasquez)
  • Les Fileuses (Diego Vélasquez)
  • Tres de Mayo (Goya) (restauration terminée : visible depuis le 11 avril 2008)
  • Saturne dévorant un de ses enfants (Goya)

- Visite de TOLEDE
La ville (déclarée Patrimoine de l’Humanité) fut par deux fois capitale du royaume
Située sur une colline bordée par le Tage, le tracé de la ville est resté intact depuis le Moyen Age.

La cathédrale Sainte-Marie de Tolède est le siège de l'archevêché du même nom, qui possède le titre de primat d'Espagne, et ce depuis les wisigoths qui avaient fait de la   ville    leur capitale politique et religieuse.
L'édifice actuel fut bâti en style gothique à compter de 1226, à l'emplacement de l'ancienne grande mosquée de la cité.


Le plan de la cathédrale de Tolède s'inspire de celui de Notre-Dame de Paris ou de St-Étienne de Bourges,. Construite à l'origine dans un style gothique rayonnant, la lente évolution des travaux (début XIIIe-fin XVe siècle) de la nef et de la façade a conduit à l'aspect actuel du bâtiment, qui représente en quelques sortes toute l'évolution du style gothique dans la péninsule.


- Monastère de San Juan de los Reyes

Très beau cloitre gothique
Bâtiment commandé par les Rois Catholiques á Juan Güas en 1.476, il construit une des plus beaux temples de la ville de Tolède et un des meilleurs ensembles du gothique hispano-flamand.




L'article en rétrospective a été rédigé par Christiane C. qui vous invite  à visionner
l'album-photos  en cliquant ici
Jeannot V. a lui aussi fait des photos qui se trouvent  en cliquant ici
Ce voyage que les Arcaliens de Colmar doivent à Fernand Fuhrmann fut un "sans faute" et complètera la boîte à souvenirs des participants dont je me fais le porte-parole pour lui témoigner toute la gratitude qui lui revient !