Traditionnelle, incontournable, mémorable et j'en passe de lui attribuer des adjectifs flatteurs à cette sortie-rando que nous devons annuellement à nos amis, Annie et Yvan et toute l'équipe en cuisine.
Tout y était : temps (superbe), ambiance ( arcalienne !!! ), bonne humeur et … deux possibilités de marche : une facile et une sportive. Deux groupes se sont donc formés. La plus dure sous la houlette de notre expérimenté Yvan et c'est Annie qui nous a, quant à nous (les moins téméraires), guidés sur le sentier du lièvre nous menant vers le cimetière … et les chênes "Millet".......
Le cimetière militaire du Chêne Millet (Source : Wikipédia)
"" Familièrement appelé le « Chêne Millet », ce cimetière est une nécropole nationale, au même titre que les nécropoles, en terre d’Alsace, de Cernay, de Guebwiller, de Moosch, du « Maettlé » (Sondernach), du « Carrefour Duchesne » (à Orbey), du « Vieil Armand » (au-dessus de Cernay et du « Linge » (à Orbey).
Ce cimetière se situe entre les communes de Metzeral et Mittlach, face aux paysages grandioses de la D’une superficie de 14 300 m², il contient 2632 corps. 2630 soldats français (essentiellement des chasseurs alpins) dont 855 dans l’ossuaire, au sommet du cimetière, et 2 Russes. Il concerne la guerre de tranchées en Haute-Alsace (1914-1918) à savoir les combats de la vallée de la Fecht, du Braunkopf, de l’Hilsenfirst, du Sillacker, du Reichackerkopf, et regroupe des corps exhumés sur le champ de bataille et dans les anciens cimetières militaires de Metzeral, Sondernach, Breitenbach, Stosswihr, Gaschney etc.
Autrefois terre inculte chargée de ronces et d’épines, ce terrain est devenu un lieu sacré du souvenir. Son nom provient du passage, en 1868, du célèbre peintre Jean-François Millet (1814-1875) en visite chez Frédéric Hartmann (industriel et maire de Munster). Des croquis témoignent en particulier de son attachement pour un groupe de chênes tout près de l’actuel cimetière. La nécropole fut créée en 1920, agrandie et aménagée entre 1920 et 1924.
A l’instar de l’ensemble des nécropoles nationales, le « Chêne Millet » est entretenu à perpétuité aux frais de l’État par le ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre mentionnés dans l’arrêté du 26 mai 1993 paru dans le Journal Officiel du 3 août 1993. ""
"" Familièrement appelé le « Chêne Millet », ce cimetière est une nécropole nationale, au même titre que les nécropoles, en terre d’Alsace, de Cernay, de Guebwiller, de Moosch, du « Maettlé » (Sondernach), du « Carrefour Duchesne » (à Orbey), du « Vieil Armand » (au-dessus de Cernay et du « Linge » (à Orbey).
Ce cimetière se situe entre les communes de Metzeral et Mittlach, face aux paysages grandioses de la D’une superficie de 14 300 m², il contient 2632 corps. 2630 soldats français (essentiellement des chasseurs alpins) dont 855 dans l’ossuaire, au sommet du cimetière, et 2 Russes. Il concerne la guerre de tranchées en Haute-Alsace (1914-1918) à savoir les combats de la vallée de la Fecht, du Braunkopf, de l’Hilsenfirst, du Sillacker, du Reichackerkopf, et regroupe des corps exhumés sur le champ de bataille et dans les anciens cimetières militaires de Metzeral, Sondernach, Breitenbach, Stosswihr, Gaschney etc.
Autrefois terre inculte chargée de ronces et d’épines, ce terrain est devenu un lieu sacré du souvenir. Son nom provient du passage, en 1868, du célèbre peintre Jean-François Millet (1814-1875) en visite chez Frédéric Hartmann (industriel et maire de Munster). Des croquis témoignent en particulier de son attachement pour un groupe de chênes tout près de l’actuel cimetière. La nécropole fut créée en 1920, agrandie et aménagée entre 1920 et 1924.
A l’instar de l’ensemble des nécropoles nationales, le « Chêne Millet » est entretenu à perpétuité aux frais de l’État par le ministère des Anciens Combattants et Victimes de Guerre mentionnés dans l’arrêté du 26 mai 1993 paru dans le Journal Officiel du 3 août 1993. ""
.... la grotte de Lourdes, l'ours sculpté dans le bois, autant de curiosités qui nous sont plus ou moins familières mais que nous retrouvons à chaque fois avec la même émotion. Et nous voilà à hauteur des chalets à Mittlach, endroit stratégique menant vers le Fischbödle et le Schissrothried. Nous sommes à quelques centaines de mètres de l'étang de pêche de Metzeral où nous attend le non moins traditionnel repas concocté par nos dévoués amis (voir la photo de l'équipe en tête de l'article) - apéritif sur la terrasse du refuge de l'étang de pêche. L'ambiance s'anime … à coups d'amer-bière, ou de bières tout court et autres apéros énergisants !!!
et toujours le soleil qui, à midi pile, est estival.
Nous nous rendons à l'intérieur du refuge et c'est là qu'intervient le miracle. Un foie gras '"maison" à se damner !!! un jambon braisé de première, frites, salade, le vacherin glacé au superbe meringuage et à la crème chantilly diffusée à la température idéale.
Nous sommes sortis de table vers 16 heures, repus, comblés ; nous devions faire une petite marche digestive dans l'après-midi. Mais étant donné la sortie de table bien tardive tout le monde a été content, après des bisous et des promesses de retrouvailles, de rejoindre nos véhicules sur le parking Steinahrink.
Nous étions quatre vingt arcaliens aujourd'hui et nous applaudissons le "personnel" - dévoué - qui ne compte pas ses efforts dans ce professionnalisme de retraités dont bien des jeunes pourraient envier la dextérité, la promptitude, l'organisation impeccable de ce déjeuner à l'Etang de pêche de Metzeral.
Et ... un petit clin d'oeil personnel, n'en déplaise, (bien audacieux) à mon ami Michel : cliquez ici
Merci Annie - Merci Yvan et ... gros merci à tous ces cuisiniers qui nous ont bien régalés .... et à l'an prochain !!!